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Je t'aime... Moi toujours.

Je t'aime... Moi toujours.
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21 octobre 2008

Machine en panne & Première tenue

Avec mon fiancé Johann nous avons emménagé dans l'appartement que possède ses parents en Mars 2008. La machine à laver est arrivée à peine un mois à peine et déjà la coquine fait des siennes. Le hublot refuse de s'ouvrir. La garantie et la facture restent introuvables ce qui provoquent des tensions entre Chéri et moi étant donné que c'est lui qui gère les papiers & Co. Oui j'ai une sainte horreur de la paperasse ça me file des boutons et quand je vois Johann (mon chéri vous suivez ? ^^) s'éclater à classer et reclasser nos factures dans des chemises en carton un dimanche après-midi je me dis qu'il doit y avoir quelque chose qui cloche chez lui. Bref, après de longues recherches infructueuses, je décide de consulter mon ami Google pour dénicher de précieuses infos sur mon problème. Grâce à Internet (ah Internet ! Il faudra que je pense à chanter ses louanges dans un prochain article), je découvre que NON nous ne sommes pas les seuls à nous retrouver avec une machine susceptible qui refuse de s'ouvrir. On trouve la solution qui semblerait se nicher sous la machine à laver - pfiou c'est lourd - et qui marche dans 90% des cas. Bon on a tenté six ou sept fois mais on a décidé d'abandonner pour le moment. Là je meurs de faim et mon loulou aussi alors la machine à laver ira se faire voir chez les grecs jusqu'à demain. Non mais ! C'est pas une machine qui va me donner des ordres. En attendant petite séance photo sur la dîtes machine de nos looks du jour.

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21 octobre 2008

Un dimanche dans les embouteillages

Il est dix sept heures. L'heure idéale pour prendre la route en voiture avec son amoureux pour rendre visite à mes parents chéris. Mon père vient de rentrer d'un voyage en Guadeloupe et donc sa valise déborde de cadeaux : une serviette flanquée d'un "I Love Gwada" et des sucreries qui me feront passer la décennie fatale au cours de la semaine. Les ralentissements ne commencement bien entendu qu'à vingt minutes de mon ancien chez moi et c'est sans doute le plus agaçant. C'est à ce moment là qu'on regrette d'avoir mis des échasses pour faire sa belle et prouver à son chéri qu'on peut porter des talons de 12 cm même le dimanche pour voir la famille (et oui la libido ça s'EN-TRE-TIENT - à dire sur le ton de Ségolène Royal quand elle scande FRA-TER-NI-TE). Bref bah oui sans ses chaussures j'aurais sans doute filé jusqu'à chez moi et... non même en basket je n'aurais quitté pour rien au monde l'habitacle sécurisant et douillet de la voiture.

Faignasse un jour, faignasse toujours. On s'approche donc de chez Papa-Maman au rythme de deux cents mètres par heure et encore je crois que j'hallucine. Oui c'est bien ça. Mon cerveau me joue des tours et j'imagine avancer alors que la voiture reste désespérément immobile. Je me meurs. Quelle idée de sortir. La gourmandise et la perspective d'une nouvelle serviette - pêché d'avidité donc - m'ont conduit à ma perte.

La joue contre la vitre comme une âme en peine, j'ai cessé depuis maintenant dix minutes de massacrer l'album de Mika.

Heureusement une lumineuse idée traverse mon esprit torturé et je photographie mes camardes de galère ( un routier moustachu, une mamie à l'air sévère et deux fillettes tireuses de langue) dans leurs voitures et mon chéri affreusement calme derrière son volant. Ça m'occupe pendant une bonne demie-heure, juste le temps d'arriver enfin à destination. Au final le trajet aura duré presque une heure et demie alors qu'on le fait habituellement en trente minutes. Morale de l'histoire ? Je respecterais plus scrupuleusement (pour une fois) la volonté divine : je ne sortirais plus jamais le dimanche.

 

 

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